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Ecosystème

  • A mon ami Jérôme Morel
    J'ai connu Jérôme dans les années où Internet était considéré comme une alternative peu sécurisée du Minitel. A l'époque, dans les années 95, lui et moi faisions de la "retape" dans les "web-bars" pour évoquer combien ce nouveau médium allait transformer la façon dont nous gérons nos interactions avec le monde extérieur, marchand ou non. Pas étonnant donc, que plus de 10 ans plus tard, nos chemins de croisent à nouveau et que nous décidions de mettre sur le marché des offres conjointes... sur internet ! Et aujourd'hui, lui et moi sommes convaincus que les compétences de vente sont plus importantes que jamais et surtout qu'elles s'enseignent !
  • Aurélien Gagnaire (GaGn Partner)
    J'ai connu Aurélien en 2006-2007 lorsqu'il officiait à Dublin en qualité de commercial sédentaire. A l'époque, j'avais été séduit par sa capacité à appréhender les finesses psychologiques de la méthodologie CustomerCentric Selling(R). En particulier, Aurélien excellait dans l'art de maîtriser les cycles de vente et ses prévisions de chiffre étaient d'une fiabilité à toute épreuve. Une des clés de son succès tenait à sa pratique des sports de combat en général et de la boxe anglaise en particulier. Depuis, il a mis son talent au service des dirigeants commerciaux désireux de faire monter en compétence et en performance leur force de vente. C'est le moment de monter sur le ring !
  • Sophie Callies (SO'xperts)
    Sophie Callies [prononcer Kaï] a fondé SO’xperts, société de conseil en stratégie marketing spécialisée dans le management de la performance. SO'xperts aide les équipes dirigeantes à répondre à trois principaux défis : comment conquérir et garder les clients, comment pénétrer de nouveaux marchés à l’international et comment mesurer la valeur ajoutée du marketing.
  • Stéphanie Wailliez (Niouzeo)
    Stéphanie allie une connaissance intime du monde du CRM, des pratiques de e-marketing et dispose d'un talent dans l'art et la manière de concevoir des newsletters. Travaillant depuis 20 ans dans le monde du logiciel de gestion, Stéphanie a passé une bonne partie de sa vie professionnelle au CXP, une société d’analyse et de conseil en choix de logiciels. Son goût pour l’écriture et le partage d’informations vient sans doute de là. En 2007, Stéphanie lance une activité de création/ rédaction de newsletters professionnelles et de Livres Blancs, pour en faire de véritables outils de conquête et de fidélisation clients. C'est un vrai plaisir de travailler avec elle !

Nouveaux horizons

  • Customer Centric Selling (R)
    Méthodologie de vente créée en 2003, particulièrement adaptée à la vente de biens immatériels
  • Le point de bascule (The tipping point)
    Qui sont ces "vendeurs", "experts" et "connecteurs" sur lesquels vous appuyer pour construire votre vente ? Comment assurer à travers votre démarche que les produits & services que vous commercialisez emporteront l'adhésion de votre client ? Quel(s) contexte(s) exploiter pour vendre dans les meilleures conditions ? Des éléments de réponse sur ce site... et dans l'ouvrage de référence (papier) éponyme.
  • Le site de Mike Bosworth
    Fondateur de Solution Selling(R), puis de CustomerCentric Selling(R)
  • Sales Benchmark Index : le blog
    Une mine d'informations et de réflexions sur la vente
  • Sales Benchmark Index : le site
    Si vous voulez comparer votre performance commerciale à celle d'un panel d'entreprises proches de la vôtre, c'est assurément ici qu'il faut cliquer.

Littérature spécialisée

Propriété intellectuelle

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16/03/2008

Commentaires

Bertrand Duperrin

Tu poses les bonnes règles pour faire démarrer une communauté... Rien à redire. Ca ressemble aussi à certaines règles de vie chez Google d'ailleurs.

Mais tu mets également le point sur quelque chose d'important : une fois que les dynamiques sont lancées (et je préfère ce terme à celui d'usages qui ne veut rien dire, surtout pas quand on s'adresse à notre cible), comment faire en sorte qu'elles ne soient pas exclusives ? Autrement dit, si ceux qui apportent la valeur ajoutée la plus "naturelle" ne jouent pas le jeu les autres ne pensent pas que l'investissement en temps en vaut la peine car il n'y aura rien à en tirer. En revanche, quand bien même les animateurs "experts" jouent le jeu, il y a toujours le risque que les autres n'osent pas rentrer dans la danse de peur de n'avoir pas le niveau pour se joindre au groupe.

Afin de surmonter cet écueil, 2 solutions sont à appliquer conjointement :

- mettre en exergue les règles de vie qui font qu'on demande pardon au lieu de demander la permission et qu'il vaut mieux poser une question stupide plutôt que de se retenir d'en poser une

- l'intérêt qui fait qu'on passe outre sa peur, car le gain potentiel en vaut la chandelle.

Ah j'oubliais... La confiance. Confiance dans les autres, dans ses collègues, ceux qu'on manage, ceux qui nous managent... et dans les outils qui rendent la communauté possible. Confiance en soi enfin : un manager qui n'a pas confiance en lui ne peut porter un tel projet. Si en avant-vente, on identifie une personne qui joue la carte communautaire pour se défausser de ses responsabilités, il faut passer notre tour... La confiance, c'est comme le dentifrice : une fois sortie du tube, tu peux toujours essayer de la faire rentrer. Ce qui induit la nécessité d'une attitude exemplaire de la part des responsables et des animateurs de la communauté.

Enfin, j'ajouterais en vrac :

- valoriser ceux qui essaient, ignorer ceux qui font du mauvais esprit ;

- stimuler les autres, surtout par le bas (les dynamiques communautaires sont rendues possibles par le haut mais ne vivent que par le bas) ;

- positiver : on a tous des points forts, mais aucun point faible, seulement des points d'effort.

Et le point de bascule, le "tipping point" des américains, qui fait qu'on a gagné : on comprend que la réponse ne doit pas venir que des experts mais qu'elle vient de partout, et que même le néophyte a des choses à apprendre aux autres ne serait-ce que parce qu'il pose des questions inhabituelles. Bref : le rapport d'étonnement permanent érigé en "best practice".


PS : la gratification n'est pas que pécuniaire, et surtout pas recommandable au début. Mais on doit y arriver à terme ne serait-ce que parce que c'est la preuve que la communauté sera créatrice de valeur... L'atteinte d'un objectif business doit toujours rester la raison d'être de la communauté. Le challenge devient alors d'identifier le moteur de chacun, l'aiguillon qui l'amènera à contribuer.

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