Etant tombé dans la pauvreté, Nasr Eddin se résigne à aller vendre son cheval au marché. Il en demande cent dinars mais il ne trouve pas d'acheteur. En fin d'après-midi cependant, un paysan se présente, qui lui en propose la moitié, cinquante dinars.
- Je crois que je vais accepter ton offre, lui répond le hodja, car, tu le sais, j'ai besoin d'argent. Il y a une chose cependant qui me soucie.
- Laquelle ?
- Eh bien, vois-tu, il se fait tard et je me demande si je vais trouver un acheteur pour l'autre moitié du cheval.
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