En hommage à vous, Monsieur Jean-Pierre Marielle, qui venez de réaliser votre seule faute de goût en nous quittant ce jour, j'ai pensé que vous apprécieriez de vous revoir dans cette intemporelle "leçon de vente". Vous y briefez Lanvin et Dutronc sur l'art de vendre des encyclopédies.
Avec, à la fin de cette séquence extraite de l'Entrourloupe, cette réplique d'anthologie : "Le plaisir d'un vrai vendeur, c'est de vendre à des gens qui n'ont absolument pas besoin de ce qu'on leur propose ou qui n'ont pas de quoi se le payer. Quand ces deux cas sont réunis, alors c'est là que le sport commence..."
C'était ça la vente à l'ancienne : une compétition sportive à fleurets mouchetés, bien loin des manifestations hystériques, dopées à la testostérone, du Loup de Wall Street.
Car même dans l'arnaque, vous nous enseignez que nous avons toujours la liberté de choisir le chemin de l'élégance ou de nous vautrer dans celui de la plus répugnante vulgarité.
Autres temps, autres moeurs.
RIP, Jean-Pierre.
Commentaires